Rosado O. Zunilda
► DC : Javier ♥ • Date d'inscription : 28/03/2015 • Messages : 12 • Piercings et tatouages : Jamais de la vie
| Sujet: Zuzu ~ Sam 28 Mar - 22:57 | |
| « Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple. » Danton
Informations ;
• Surnoms ; ...
• Sexe ; Femme
• Âge ; 34 ans
• Origine ; Péruvienne
• Sexualité ; Hétérosexuelle
• Son but ; Que les détenus sortant de Lurigancho deviennent de bons petits citoyens ♥
• Groupe ; Transcendants
• Personnage utilisé ; Inspectrice Kirihara ~ Darker Than Black Questionnaire ;
Grande et fine (1m80 pour 65 kilos environ), brune, yeux bruns, peau mate, pas de doute, elle est du coin. Paire de lunette fine, puisqu'elle est légèrement myope. Ne porte jamais à la prison de jupes ou robes, préfère les pantalons pour pas aguicher les détenus, c'est que certains partent au quart de tour. Porte toujours des talons qu'elle aime faire claquer sur le sol. Chemisiers, vestes. Jamais en flashis, jamais de fautes de gouts, toujours élégante. • Ta musique favorite? - L'apprenti Sorcier ~ Paul Dukas • La partie de ton corps que tu préfères? - Ma tête (sous entendu, ce qu'il y a dedans ♥ ) • Ton animal favori? - L'hermine • Si tu faisais un piercing, où le ferais-tu? - Il faudrait me poser un flingue sur la tempe, mais disons... à l'oreille c'est le plus discret • Masochiste ou sadique? - L'extrême n'est jamais bon • Ton jeu préféré? - Trivial Poursuit • Ta date de naissance? - 15 juillet • Es-tu fier de ce que tu as fait jusqu'ici? - Oui • Si tu avais un pouvoir, lequel serait-ce? - Devenir invisible ♥ • Tu as déjà vu un monsieur tout nu? - Oui, quand même • Si demain t'étais un poisson rouge, tu réagirais comment ? - .................................. • Pégase, poney ou licorne? - Étalon ~ • As-tu déjà eu des enfants? - J'en ai deux ~ • Que penses-tu de la nourriture de la cantine? - Elle est infecte • Te travestirais-tu pour quelque chose d'important? - Oui
| Personnalité ;
- Numérologie:
Votre chemin de vie est lié au nombre 5, Zunilda qui marque les destinées mouvantes éloignées des sentiers battus. Vos activités sont variées, placées sous le signe du sens de l'adaptation, de la multiplication des ressources. Plus que d'autres, vous devrez mobiliser vos facultés d'apprentissage, d'ouverture d'esprit. Il importe de négocier au mieux les mutations et transformations de votre existence : le chemin de vie 5 marque les destins sujets aux rebondissements, aux changements de cap. L'orientation de votre vie est donc susceptible de varier considérablement à certaines époques et si votre destin est celui des aventurières au parcours semé d'obstacles, il peut faire également de vous, par son manque de nuance une personne excessivement instable. Vous accumulez ainsi les expériences, enrichissant votre savoir-faire à chaque période cruciale. Votre sens de l'adaptation vous permet de franchir les étapes successives de votre vie sans jamais vous laisser déstabiliser par un contexte neuf.
Effectivement, Zunilda est une personne qui a énormément varié les expériences, et qui est passé d'une chose à l'autre avec une étonnante facilité. Les situations prennent rarement Zunilda au dépourvu. Ou alors, elle n'en laisse rien paraitre, et elle se débrouille, au poker face. De là à dire qu'elle a mené une vie aventureuse... Non, vraiment pas. Elle a juste un peu milité, pour l'éducation. Elle a fait un an d'étude, à l'étranger. En Espagne, dans la lointaine Europe. Voilà ses seules aventures. Enfin, son arrivée à Lurigancho peut être certainement être vue comme une aventure. Peu de femmes l'auraient fait. - Astrologie:
La femme Cancer est féminine, mais n’aime pas attirer l’attention sur elle. Elle sait que son côté ingénu suffit pour séduire son entourage. Elle est prudente, discrète et n’en fait jamais trop, au risque de ne pas en faire assez ! Décrite comme plutôt effacée, elle est dotée d’une grande sensibilité maternelle. C'est dans son cercle familial que la native trouve son bonheur. Mais elle a aussi beaucoup d’amis, notamment parce qu’elle est ouverte d’esprit et ne juge pas les gens. Elle est appréciée pour sa tolérance, sa générosité et son sens de l’accueil. Elle aime offrir, cherche le cadeau ou la petite attention qui pourrait faire plaisir à ses proches. La femme Cancer est très ordonnée, peut-être même un brin maniaque et peut sortir de ses gonds si quelque chose la contrarie. Cette attitude soudaine surprend toujours ses proches, même ceux qui la connaissent bien. Elle peut se montrer parfois crédule et n’est pas très bonne en affaires. En revanche, elle est sensible et a beaucoup d’imagination. Elle peut être douée pour le dessin, la peinture ou la sculpture même si elle n’ose pas forcément mettre ses talents en avant.
Discrète... Elle l'a été, certes. Trop été. Elle n'a jamais été du genre à s'afficher, au final, elle se dit qu'elle aurait quand même du le faire. Un peu. Pour se rappeler au bon souvenir de son ex époux, par exemple. Parmi ses bonnes résolutions pour une nouvelle vie, il y a ça. Ne plus s'effacer devant les autres. Ca l'a révélé, aux dires de ses amis. Maintenant, un certain charisme se dégage d'elle. Une grande assurance aussi. Une confiance en soi certaine. Maternelle, ça aussi, elle l'a toujours été. Avec ses jeunes frères et sœurs, avec ses élèves, avec ses enfants. Et même maintenant, avec ces détenus, qu'elle veut voir saisir leur chance, à leur sortie de prison. De la générosité, elle en a à revendre. Elle sait être à l'écoute des autres, et elle se montre toujours très tolérante, et ouverte d'esprit. Avec elle, on peut toujours avoir une seconde chance. Oui, enfin, une seconde... Jamais plus non plus. Ordonnée, maniaque, ça, c'est claire, elle l'est. C'est une des clefs de sa faculté d'adaptation. L'ordre. Elle ne supporte pas le bordel. Nous reviendrons dessus plus tard. - En couple:
La femme Cancer a besoin de partager des instants romantiques avec son amoureux. Elle est optimiste, et a une vision simple mais idéale de l’amour. Il faut toutefois rester prudent avec la femme Cancer. Quand elle sent que la relation est suffisamment solide, elle peut se montrer capricieuse et agaçante comme une petite fille. Son amoureux doit donc être gentil et attentionné avec elle, mais pas non plus trop bonne pâte. La femme Cancer a besoin d’un homme présent et investi dans le couple. Elle recherche sa moitié, quelqu’un qui la conseille et la guide et lui apporte son soutien. Elle n’est pas toujours très indépendante et peut se montrer parfois jalouse. Si elle a un doute quant à la fidélité de son amoureux, elle restera discrète et mènera sa petite enquête de son côté. Elle peut toutefois faire des scènes de ménages impressionnantes et théâtrales, mais elle est très attachée à sa famille et recherche un homme qui partage ses valeurs.
Là, commence à y avoir de la connerie de dite. Vraiment. Bon, d'accord. Elle a toujours eu, jusqu'à son divorce, une vision très naïve, très simple, du couple. Mais elle ne s'était jamais, oh grand jamais, montré capricieuse. Elle a toujours cru en l'indépendance de la femme, et refusait, de loin ou de près, d'être assimilée à une femme entretenue. Les caprices, très peu pour elle. En revanche, elle a toujours cherché un équilibre dans le couple. Sa moité, elle doit la soutenir, mais elle ne doit pas l'écraser, ou la surprotéger. Jalouse, elle l'a été. A raison d'ailleurs. Mais elle n'a jamais fait des crises. Non, alors que le doute montait, elle l'a fait, cette petite enquête, pour découvrir le pot aux roses, et ouvrir la boite de Pandore. Cette trahison de son mari a beaucoup remit en question. Mais elle a fini par penser. Qu'elle n'était pas en faute, qu'importe ce que lui il disait. Pas par fierté non. Simplement, elle croit en des valeurs, des valeurs qu'hélas lui, il ne partageait pas. - Astrologie Chinoise:
S’il fallait décrire les coqs en un mot : Conservateurs. Ce sont des penseurs rapides, pratiques et pleins de ressources, préférant s’attacher aux méthodes dont l’efficacité a été prouvée plutôt que de prendre des risques compliqués et inutiles. Le sens de l’observation est la force principale du coq. Il est difficile de laisser passer quoi que ce soit à un Coq, il a des yeux derrière la tête ! Cette qualité explique pourquoi tant d’avocats à succès, de neurochirurgiens et de comptables se trouvent être des coqs. Socialement, ils n’ont pas d’hésitation à dire la vérité et garder leur parole. Apparence et ordre sont les mots clefs des coqs. Ils souhaitent être maîtres de la situation, en particulier de leur « apparence » et des environs. Dans ses relations, le coq a besoin du bon partenaire, celui qui comprendra sa nature foncièrement conservatrice. Avec la bonne personne, le coq sera, pour ses partenaires, le soutien le plus loyal et le plus honnête ; celui qui se pliera en quatre pour faire plaisir à l’être aimé. Les coqs ont besoin d’apprendre la valeur du coeur et de l’âme autant que leur bonne apparence. Ce signe ferait aussi bien d’adopter la philosophie de « vivre et laisser vivre ». Cela aidera ce signe à apprendre à laisser les autres êtres, quels qu'ils soient et quelle que soit leur apparence.
Quand je vous l'avais dit, plus haut, qu'elle n'était pas si aventureuse. Elle est née sous le signe du coq, qui tempère bien ce côté d'elle. Oui, elle a son côté conservateur. Les grandes innovations, elle regarde toujours ça d'un drôle d'air. Bon d'accord, y a quelques petites choses qui sont très bien. Mais parfois, rien ne vaut les bonnes vieilles méthodes. Quoi, comment ça, c'est archaïque le coup de règle sur les doigts ? On l'a dit plus haut, elle aime l'ordre. Et gare à ceux qui veulent foutre le bordel pendant qu'elle donne un cours. Comme bien d'autres Coqs, elle a un sens de l'observation très développé. Hep hep hep, c'est quoi ces mots qu'on se passe sous la table ? L'ordre c'est important. Elle aime tout maitriser, et ça commence par son apparence. Elle a l'air d'être tirée à quatre épingles, elle a l'air d'être sévère, et effectivement, elle l'est. Elle est loyale, et franche, mais elle sera toujours polie, et agréable. Ah oui, et enfin... Elle est (légèrement) superstitieuse. |
Histoire ;
C'est un joli matin, au beau milieu du mois de juillet, que naquit la petite Zulnida, première enfant d'un couple d'une famille modeste. Son père était banquier, sa mère restait au foyer. Elle eut deux frères et deux sœurs par la suite, et a vécu donc dans une grande famille, n'hésitant jamais à aider sa mère. Maternelle, elle l'était déjà.
Elle adorait l'école, et elle adorait apprendre. Aussi, il ne faut pas s'étonner qu'elle parvint à entrer dans une université très correcte, à ses dix huit ans. Elle voulait déjà devenir professeur, après avoir passer des heures et des heures, au lycée, à donner des cours de soutiens aux enfants de son quartier et à ses frères et sœurs, contre un peu d'argent de poche.
L'éducation, c'est quelque chose qu'elle a toujours trouvé très importante. Quand elle devint étudiante, elle s'engagea dans une association, pour donner des cours aux enfants des bas quartiers. Elle leur apprenait à lire, à écrire et à compter, à tous ces mômes qui n'allaient même pas à l'école.
A la fac, elle rencontra aussi celui qui deviendrait son futur mari. Un étudiant en médecine. Ils allèrent tous deux en Espagne, pour leur dernière année d'étude. Il était un peu plus âgé. Mais en rentrant, ils avaient la même envie. Celle de voyager, pour aider les plus défavoriser.
Ils allèrent en Éthiopie. Lui, il soignait les enfants. Elle, elle leur enseignait. Deux ans, deux ans qu'ils sont resté là bas. Une goutte d'eau. Mais une goutte d'eau nécessaire, ils en étaient persuadé. Cependant, la vie là bas était fatigante. Et un petit habitant lui poussant sous le nombril, Zunilda retourna à la capitale péruvienne, avec son désormais fiancé.
Ils se marièrent, et reprirent une vie moins aventureuse. Enfin, élever une fille, c'est quand même une sacré aventure. Une fille, et puis, bientôt, un fils. Deux adorables enfants. Oh, elle travaillait encore. Avec des élèves plus âgés. Elle était professeur d'espagnol, dans un lycée. Mais elle avait encore du temps pour ses enfants.
Moins pour son mari. Moins pour Rico, son frère ainé. Il avait fait un séjour en prison. La prison l'avait changé. Oncle Rico que ses enfants l'appelait. Mais il ne parvenait plus à trouver le moindre emploie. Personne ne voulait d'un ex taulard.
Il lui en parla, de tous ces taulards justement. La moitié d'entre eux ne savaient pas vraiment lire ou écrire. Tellement viennent de quartiers pauvres. L'éducation était beau être obligatoire, dans ces quartiers là, personne ne s'en occupe réellement. Une nouvelle vocation naquit dans l'esprit de Zunilda. Zunilda, qui a toujours été une militante, portant des idées.
Ces idées, ça a couté son mariage à Zunilda. Oncle Rico était à la maison, alors, elle pouvait rentrer tard. D'abord, ça a été tous les lundis. Que les lundis. Et puis, ça a été aussi les mercredi. Puis les samedis. Puis tous les soirs. Tout ça pour quoi ? Pour des détenus. Elle vint à aller visiter les prisons, tous les week-end. Et son mari, lui ? Oh, son mari. Il le lui reprochait oui. Ils se disputaient, souvent. Tout le temps.
Lui, il était bourgeois désormais. Un médecin reconnu. Il aimait, aller à des soirées mondaines. Les enfants voyaient plus souvent leur oncle que leurs parents.
Et puis, un jour, Zunilda se trouva à la même soirée que son mari. Elle ne savait même pas qu'il était là. L'inverse devait être vrai. C'est là, qu'elle découvrit, qu'elle n'était aux yeux de ce monde aucunement Madame Sarroski. Non, c'était une blonde qui était aux bras de son mari. Elle ne fit pas de scandale, non, aucun. Elle se fit discrète. Usant de son nom de jeune fille pour se présenter. Elle le retrouverait bientôt, ce n'était pas un véritable mensonge. Non, Zunilda réagit avec la plus grande dignité. N'ayant absolument pas peur de se montrer aux yeux de son mari, sachant apprécié la panique qui l'avait envahit alors.
Un mois, ce fut le temps qu'ils mirent à divorcer. Elle avait mit à jour cinq maitresses. Cinq, rien que ça. Et pourtant, ce fut lui qui obtint la garde des enfants. Ses activités pour l'éducation des détenus jouèrent en sa défaveur. Comment une femme qui passait plus de temps dans une prison que dans sa maison pouvait s'occuper des enfants ? Oh, il y avait l'oncle Rico. Un ancien taulard. Quelle bonne mère laisserait ses enfants à un oncle ?
Son mari avait les moyens de se payer un excellent avocat. Il eut la garde des enfants. De sa si jolie fille, et de son garçon si admirable. Elle n'en aurait la garde qu'un week-end par mois.
Elle déménagea, avec Rico. Elle ne supportait plus la capitale. Et puis, son association avait obtenu gain de cause. En guise d'essai, elle serait désormais employée par le gouvernement, pour apporter l'éducation dans les prisons. Lurigancho, c'était le nom de cette prison. Une prison privée, mais qui restait sous les lois du pays.
Et maintenant, elle est là. Dans un petit bureau exigu dans cette prison. Son crédo ? Inciter les détenus à s'éduquer, à se former à un métier, et les accompagner par la suite dans leur réinsertion professionnelle. Car un ex détenu qui ne se ré-insert par dans la vie active, dans la vie professionnelle, c'est un détenu qui sombre à nouveau dans la criminalité.
PSEUDO ;
• Comment es-tu là ; Huhuhu
• Code ; CHRISTINA
• Âge ; 23 ans ♥
• Pays ; France
© Flyremoon.
Dernière édition par Rosado O. Zunilda le Dim 29 Mar - 17:05, édité 3 fois |
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