Bovary B. Kennan
► DC : Fabriny O. Kyllian, pour vous servir. • Date d'inscription : 01/10/2015 • Messages : 7 • Piercings et tatouages : À vous de découvrir.
| Sujet: Cette séance touche à sa fin | Kennan Bovary | End Jeu 1 Oct - 23:08 | |
| |
• Sexe ; Masculin • Âge ; Trente-trois ans • Origine ; Australien • Métier ; Policier reconverti en psychologue • Sexualité ; Bisexuel • Groupe ; Transcendant • Personnage utilisé ; Oc de Ryu1024
• Ta musique préférée ; Le rock, le Jazz... • Ton fétiche ; C'est à moi d’interroger, pas l'inverse ! • Dr Pepper ou Coca ; Coca, avec des glaçons si possible. • Grand ou petit ; Peu importe, ce n'est pas la taille qui compte. • Ton habit préféré ; Les vêtements de travail. Pas besoin de s'embêter à réfléchir comment s'habiller le matin. • Ta série préférée ; Tant que ce n'est pas un thriller... La majorité sont absolument clichés et la fin tout bonnement banale et prévisible. • Tu aimes les concombres ? ; Plus ils sont gros, plus ils sont croquants ♥
|
Physique ;
Blake est un homme impressionant, non pas en raison de son mètre quatre-vingt-quatre, mais plutôt à cause de son charisme et de sa confiance en lui flagrante. En effet, il assume la majorité de ses actes et, si un jour l'idée saugrenue de se teindre les cheveux en rose lui vient, et bien il portera la couleur sans chercher à se dissimuler sous un sac en plastique quelconque. Après tout, pour exercer les métiers qui ornent son curriculum vitae, il faut bel et bien être solide, tant mentalement que physiquement ; notamment la police, par exemple, où il n'est pas rare de devoir courir derrière untel, tandis que son coéquipier cherche à le bloquer à l'aide de leur voiture. Pour cette raison, le corps de Blake est finement sculpté. Même après avoir rendu son badge, il a continué à prendre soin de son physique et a fait en sorte de conserver son endurance majoritairement, et ses reflèxes. Des bras artistiquement tatoués jusqu'au coude sont la continuité de ses épaules larges. Il arbore une silhouette en V agréable à regarder, d'autant plus mise en valeurs par son look. Blake aime s'habiller dans des tons plutôt noirs et il préférera les vêtements moulants aux tissus trop amples dans lesquels il ne se sent pas du tout à l'aise.
Toutefois, le plus marquant chez lui, c'est bel et bien sa physionomie. Son visage est anguleux et s'achève en un menton pointu souvent habillé d'une petite barbe de quelques jours, lui conférant un air plus négligé. Sauvage dirait son ex. La bouche pulpeuse, elle est décorée par des labrets décalés, deux petites boules grises situées en dessous de sa lèvre inférieure, ses tout premiers piercings, d'ailleurs. Son deuxième, c'est son septum. Il s'agit de l'anneau noir ornant son nez aquilin, celui-là, il se l'est fait pour défier ses parents qui parlaient toujours - en mal bien sûr - d'un « anneau inspiré des bovidés ». Le bijoux est ironiquement très bien porté, au grand dam de sa mère. Cependant, le plus grand cadeau de Mère Nature, est la couleur anthracite de ses prunelles. Ses yeux en amande sont bordés de longs cils noirs, mettant ainsi son regard, aussi tranchant que celui d'un assassin, en valeurs. Il lui arrive de temps en temps de souligner ceux-ci d'un trait de khôl, mais ce n'est pas pour autant qu'il se maquille. En réalité, c'est bien la seule chose « féminine » qu'il possède. Mais, il est de plus en plus rare de le voir prendre la peine de mettre ses iris en avant. En effet, de grosses cernes violacées ont remplacé cet artifice, dévoilant à tous sa condition d'insomniaque.
Toute son originalité ressort à travers ses cheveux bicolores, savamment coiffés. Ils sont d'un naturel noir d'encre, mais Kennan a choisi de les couper courts sur les côtés, préservant toutefois une longue mèche dissimulant de temps à autre son oeil droit. La mèche en question a été décolorée puis teinte d'un blanc pur, tranchant avec la noirceur des sourcils qu'elle cache… Pour terminer, ses oreilles, dévoilées à tous, sont alourdies par deux écarteurs, des plugs de 20 millimètres qu'il se plaît à changer régulièrement au gré de ses envies.
Caractère ;
« Qu'est-ce qui t'a décidé à vouloir devenir un flic ? »
Son coéquipier, Dakota Mikaelis, est assis en face de lui, sa tasse de café sucré (en réalité c'était plutôt du sucre au café) vide entre les mains. Ils se trouvaient à la terrasse d'un bistrot et, à côté d'eux, aucune table n'était disponible. Toutes maintenaient des chaises sur leurs plateaux, elles étaient rangées de manière ordonnées ; il faisait trop froid pour rester longtemps à l'extérieur, alors tous les badauds s'étaient regroupés à l'intérieur du café, laissant les deux hommes discuter. Kennan prit son temps pour réfléchir, noyant son regard à couper le souffle dans son breuvage noir, depuis longtemps refroidi.
« - Sans doute parce que mon père est mort sous mes yeux et que, plus jeune, je désirais le venger. - Oh merde, Bovery, je savais pas. Je suis désolé. - Eh moi donc. Tu crois vraiment tout ce que je dis, hein. Non, en fait, c'est juste d'une banalité affligeante. J'ai toujours aimé les séries policières qui passaient à la TV et la criminalité est un sujet intéressant. C'est tout con, en fait. »
Un petit sourire sarcastique aux lèvres, Blake finit par se lever. Les pieds de sa chaise raclent l'asphalte. S'étirant légèrement, il pose suffisamment d'argent pour payer leurs deux consommations, dont la sienne presque intouchée, et il récupère son vade-mecum posé négligemment par terre. À l'intérieur, des clichés au sujet de l'affaire qu'il traite avec le poste de police.
« - Tu paieras la tournée, la prochaine fois… Et je ne te parle pas d'un simple café. - Sérieux, Ken', tu abuses. On se voit demain, en espérant qu'aucun macchabé ne soit encore découvert d'ici là. »
Blake part en écoutant les dires de Dakota d'une oreille distraite, n'y prêtant pas plus attention que cela. Son visage s'est à nouveau figé en sa moue blasée habituelle, un léger froncement de sourcil plissant son front large. Ainsi, il a l'air d'un jeune adulte s'étant levé du mauvais pied, un homme que personne ne voudrait déranger. Parce que, mine de rien, Kennan possède une présence folle. Il est impossible de l'ignorer, même lorsque ses lèvres demeurent closes. Il possède le même charisme fou qu'un criminel, le même regard acéré, bien que le sien soit de plus en plus terni par les affreux cauchemars dont il est la proie. Son métier le passionne, mais son empathie à l'égard des victimes qu'il peut croiser le tue à petit feu. Les fantômes existent bel et bien, ils se terrent dans l'ombre en attendant que la conscience d'une personne glisse vers l'inconscience, patientant que le sommeil ne vienne l'emporter sur la lucidité pour, enfin, frapper les vivants. Les cauchemars. Kennan ne peut plus se reposer sans revoir, derrière ses paupières closes, les cadavres sanguinolents laissés par des assassins fiers de leurs méfaits. Et si ce n'est point des morts qui peuplent ses rêves, il s'agit de songes flous et tenaces. Ainsi, il ne se couche plus de lui-même et déteste profondément le vide occupant son lit. Personne pour réchauffer la place d'à côté, personne pour le sortir de ses rêves. Alors Kennan joue toute la nuit à des jeux vidéos qu'il chérit, attendant tout en s'occupant le moment où, enfin, Morphée daignera l'entourer de ses bras chaleureux et salutaires.
Mais Kennan n'est pas pour autant un être grégaire. Il n'a guère besoin de la présence d'autrui pour vivre, il peut s'en passer, même si parfois l'envie de s'entourer affleure son esprit. Il se dit souvent qu'être célibataire à trente ans, ça craint. À cet âge là, bon nombre de ses connaissances possèdent déjà une famille, mais pas lui. Il n'apprécie pas énormément les enfants et est relativement compliqué à séduire. Car, avant le physique, il s'intéresse la majorité du temps à la sapience d'une personne. Kennan apprécie les joutes verbales. Il aime croiser la route d'hommes et de femmes désireux de ne pas se laisser soumettre. C'est une personne appréciant les défis de tout genre, même s'il demeure prudent. Il n'est pas assez bête pour se jeter dans la gueule du loup et cherchera toujours à analyser la situation dans laquelle il se trouve avant d'agir. Il ne se laisse pas aller à ses pulsions, ne voulant pas faire la même erreur que la majorité des criminels. Se laisser guider par ses vices cachés, il n'y a rien de pire.
Désormais reconverti en psychologue, il s'est découvert une patience sans limites. Son empathie et sa capacité à se mettre à la place d'un tueur font de lui un homme peu aisément surpris, il semble toujours avoir un coup d'avance sur autrui. Kennan possède de nombreux principes qu'il suit à la lettre, mais il peut parfois se montrer trop moralisateur envers ses amis, désirant sans doute leur donner son propre chemin de vie.
Kennan est un homme confiant, quoiqu'un peu narcissique. Il peut se montrer très sociable bien que les amis ne sont guère une nécessité, mais il est habituellement très sarcastique dans ses propos. Relativement ouvert, il peut aborder n'importe quel sujet et se montrera très pédagogue dans le cas où il se doit d'expliquer quelque chose. Son plus gros défaut est certainement le fait qu'il soit d'une possessivité sans nom avec le peu d'amis qu'il possède ; Kennan n'aime pas rencontrer les potes de ses potes et le fait savoir. Il est franc et n'hésite jamais à dire tout haut ce que l'on pense tout bas. Râleur, il exprime souvent son mécontentement, mais ne rechignera jamais à accomplir une tâche qu'un tiers lui donne. C'est un homme de paroles, aussi muet qu'une tombe. Cependant, il a la sale manie de ne jamais parler de ses problèmes, sans doute à cause d'une fierté mal placée.
Dernier détail : il possède une phobie. Kennan a peur des aiguilles, il a des sueurs froides rien qu'à l'idée d'une seringue...
Histoire ;
Les enfants criaient en se poursuivant joyeusement, des pistolets factices, en plastique, fermement maintenus et brandis fièrement par leurs petites mains. Ils jouaient à se faire la guerre, malgré le vent froid annonçant l'automne, se pourchassant dans une atmosphère aérienne et végétale de couleurs sanguinolentes.
Les hommes étaient-ils nés violents, instinctivement doués pour faire la guerre, d'où leur ascension fulgurante jusqu'au sommet de la chaîne alimentaire ou le sont-ils devenus à mesure qu'ils se civilisaient, dans le seul désir de marquer leur territoire, d'une manière moins « primitive » qu'un animal ? La violence était-elle exclusive à l'espèce humaine ? Après tout, il s'agissait bien de la seule à mener des guerres massives dans le but d'exterminer autrui, pourtant de la même race… Etait-ce donc l'éducation qui poussait un enfant à refouler, à endormir, cette part de bestialité tapie en lui, dans le seul but de se civiliser et d'apprendre à vivre en communauté ? Petit, un bambin qui jouait dans un bac à sable frappait forcément les autres, pour garder sa pelle, par exemple. Les enfants étaient méchants de base, suivant exclusivement leurs instincts.
« Eh ! Lyd', on avait dit pas la tête ! »
Dépité, Kennan se frottait les tempes, un peu sonné par le coup que son frère venait de lui administrer. Il n'y était pas allé de main morte, frappant même avec la crosse de sa fausse arme et, mine de rien, c'était douloureux.
« Roooh, tu étais dans la lune ! Tu f'rais un mauvais assassin, je t'ai attrapé. »
Le jeu avait en effet dérivé à une chasse au criminel et, comme à son habitude, Lydian préférait nettement le rôle du gentil policier. Il s'agissait de l'homme que l'on traitait en héros, après tout, l'exemple à suivre, la justice même ! Du moins, selon son point de vue enfantin. Kennan fit la moue en refoulant ses larmes de douleur, jetant son pistolet sur son frère qui lâcha un cri de surprise. Oh, douce vengeance… Leur mère, en avisant le combat étrange auquel s'adonnait ses fils, vient les séparer et les réprimander, les sourcils froncés. Elle n'aimait point le fait qu'ils s'amusaient à ce genre de jeu ; on ne s'amusait pas avec la guerre, c'était, pour elle, un sujet plutôt sensible. Ainsi, sous ses ordres, les jumeaux durent s'excuser platement et se faire un petit bisou sur la joue en guise de paix et de fraternité.
C'était amusant. Des deux, Lydian, le plus jeune de quelques minutes, était le plus à cheval sur les règles. C'était un garçon très éveillé pour son âge, il n'était donc pas rare qu'il se fasse un peu embêter par les autres élèves de sa classe, même si Kennan veillait au grain. Ils étaient soudés, comme les doigts d'une main, ils étaient complémentaire l'un de l'autre, même si Lydian était aussi blond que son frère était noiraud. Leur père, un psychiatre réputé à Orange, la ville où ils habitaient, dans le sud de l'Australie. Il se plaisait à les appeler « ses petits Ying-Yang ». La petite famille vivait bien, les parents travaillaient dur pour gagner leurs vies, mais les enfants ne manquèrent jamais de rien, si bien que Lydian devint rapidement avide d'attentions, pensant à tort que tout lui était du. Pour une fois, les jumeaux ne se ressemblaient pas sur chaque point, eux qui faisaient attention au fait de toujours s'habiller de la même manière, avec l'âge et l'adolescence, prirent des chemins de plus en plus divergents.
En réalité, la majorité des criminels étaient simplement des enfants ayant ouvert la boîte de pandore dissimulée en eux. Ils avaient simplement libéré leur part de bestialité endormie par les moeurs d'une espèce se voulant civiliser. Un retour à l'état sauvage, un retour aux racines, aux origines qui contrastait avec les règles mises en place par des pays despotiques. L'adolescence amena avec elle de nombreux changements, surtout dans le cas de Lydian. Peut-être trop candide et capricieux, il se laissa attirer, tel le papillon par la lumière éclatante d'un bec de gaz, par les sensations grisantes que lui promettait le vandalisme. Ce n'était pas un simple jeu, cela n'avait rien avoir avec celui auquel il s'adonnait avec envie. Non, il jouait avec le destin et, malgré les mains tendues de sa famille, se détacha d'eux lorsque vint sa majorité. En parallèle, Kennan grandit entouré des séries policières que sa mère se plaisait à lire, à regarder. Il jouait avec elle à « qui débusquerait le coupable avant l'autre » et, lorsqu'ils se faisaient tout deux avoir par l'intrigue ficelée avec brio, ils se serraient la main et partageaient une glace menthe-chocolat, toujours payée par sa mère, évidemment.
La première fois qu'une voiture de police s'arrêta devant leur maison familiale, ce fut pour ramené un Lydian de seize ans ayant tenté de voler des broutilles dans une épicerie. La deuxième fois, ce fut pour ramener un Lydian de dix-huit ans, complètement saoul. Et la troisième fois, ce fut Kennan qui sortit de l'habitacle du véhicule, une moue coupable peinte au visage. En effet, complètement lié à son frère, il avait préféré rejeter la faute sur lui et sauver son frangin… évidemment, le policier ne fut pas dupe, mais cette expérience permit à Kennan de se faire à l'idée que son frère avait définitivement choisi d'embrasser une autre voie. Sous le regard bienveillant de ses parents, il entreprit des études dans le but de devenir policier, énormément soutenu par sa mère qui s'amusait à lui rappeler telle intrigue vue dans tel livre. Ce fut donc tout naturel qu'il fut cueilli par le poste de police d'Orange, en sortant de son université de criminologie avec mention, faisant le bonheur de sa famille.
Kennan prit son envol et quitta la maison familiale lorsqu'il souffla ses vingt-et-une bougies, toujours profondément inquiet pour son frère qu'il n'avait pas revu depuis quelques mois. D'après ses parents, celui-ci avait déménagé très loin de l'Australie, partant avec un groupe d'amis, mais il ne désirait pas se faire de faux espoirs. Lydian était, après tout, sa moitié. Ainsi, il se mit régulièrement à sa recherche, sans même retrouver l'ombre de sa trace.
En gravissant des échelons dans son poste de police, Kennan fut vite soulagé des missions ridicules et futiles qui étaient habituellement données aux bleus. Il put donc véritablement se faire la main et découvrir son métier en profondeur, à mesure qu'il fut confronté à des scènes de crime sanglantes. Il n'aurait toutefois jamais cru pouvoir assister au travail acharné des techniciens en identification criminelle, plus communément nommés TIC. Il put donc poser les yeux sur les cadavres abandonnés par leurs tortionnaires, parfois même mis en scène. Il vomit plus d'une fois son déjeuner avant de s'y habituer, du moins en apparence, puisque insidieusement, ces visions d'horreur s'imprimèrent dans son esprit avec une facilité déconcertante. Il se mettait tellement à la place des victimes, puis des criminels eux-même que, au fur et à mesure, ses visions l'intoxiquèrent. La violence qu'il percevait, qui était dissimulée aux yeux du public, était une véritable escarre. Une fois installé, ce mal de la société ne cessait de le ronger. Pourtant, la violence était comme une drogue, il ne pouvait s'empêcher de continuer son travail, de prendre son shoot de crime en assistant à la décadence, à la véritable nature de l'Homme.
Ainsi, Kennan ne put plus s'endormir. Il revoyait ces gens dont il avait découvert les cadavres et analysé la vie sous toutes les coutures, ces morts violentes qui revenaient le hanter durant ses moments de fragilité. Il avait veillé tard, incapable d'éteindre la lumière, redoutant l'instant où il poserait la tête sur l'oreiller et qu'il se retrouverait seul face à la réalité. C'était durant ses moments de tranquillité que le pire revenait le hanter, insidieusement. Il s'agissait en premier des petites broutilles de la vie commune, comme le manque d'argent ou les fuites du robinet… puis, lorsqu'il s'enfonçait petit à petit dans l'obscurité de l'âme, l'inconscience propice au repos, gentiment, les morts venaient affleurer sa conscience, presque timidement. Il ne pouvait passer une bonne nuit de sommeil sans être visité par un cauchemar.
Ce qui conduisit rapidement à son envie de reconversion. Ce n'était plus vivable pour lui et, après en avoir informé ses parents ( du moins au minimum ), il décida de s'envoler pour le Pérou. Pourquoi le Pérou ? Il avait tout simplement choisi un pays au petit bonheur la chance, les yeux fermés, et son index s'était arrêté sur cette destination. Fort heureusement, Kennan savait parler espagnol grâce à ses cours universitaires et ses choix scolaires, et il put s'envoler sans problème pour le Pérou, ou il entreprit d'entamer des études en psychologie qu'il boucla sans réelles difficultés. Il s'agissait d'un domaine fortement intéressant et, particulièrement motivé, il ne fit que dévoré livres sur livres durant toute la période que dura ses études. Ce fut donc avec une grande surprise que, au lieu de se retrouver à travailler dans un petit hôpital psychiatrique, il fut placé dans un univers carcéral ; la prison de Luriguancho. Quel ironie, lui qui avait quitté ce domaine pour tenter de distancer ses cauchemars, ce qui ne fonctionna évidemment pas, se trouva à devoir y travailler à nouveau…
Il faut croire que, dans sa précédente vie, ses actions furent si catastrophiques que son karma en fut grandement chamboulé...
SHERKAN ;
• Comment es-tu là ; Dc, sir ! • Code ; POUI POUI • Pays ; Switzerland ~ • Âge ; Hinhin. • Sexe ; Boobs. • Cookies ou brownies ; Brownies brownies brownies ! • Yaoi ou Yuri ; J'aime tout ! Mais... un p'tit penchant pour le yaoi ~
© Flyremoon.
Dernière édition par Bovary B. Kennan le Ven 2 Oct - 19:31, édité 1 fois |
|