Katari JavierDétenu
► DC : Zuzu ♥ • Date d'inscription : 12/06/2014 • Messages : 61 • Piercings et tatouages : Nombril, Téton gauche, Langue
| Sujet: Viens, aller, viens, on est bien ! [Pres Javier, 100%] Jeu 12 Juin - 19:45 | |
| Javier Katari | Informations » Surnoms ; Truc, Connard, Enfoiré... Ah, c'pas des surnoms ? Bah il en a pas. » Sexe ; Masculin » Âge ; 25 ans » Manies ; Mordille sa lèvre inférieur, puis s'humecte les lèvres, passer sa langue sur la lèvre supérieure. Et faire son connard de chevalier servant. » Nationalité ; Péruvienne » Groupe ; Asservi » Ici pour? ; Ivresse sur voie publique/Coups et Blessures/Atteinte à un agent de l'ordre en fonction/Tentative de corruption d'agents de l’État. » Orientation sexuelle ; Bisexuel » Son but ; Aucun » Perso' utilisé comme avatar ; Hunter X Hunter - Illumi
| Questionnaire
Petits signes distinctifs : Il mesure 1m80 pour 70kg, c'est vrai qu'à priori, lui chercher des crosses, c'pas une bonne idée. Ses cheveux sont noirs, longs, toujours détachés. Ses yeux sont du même noir d'encre que ses cheveux. Traits très fins. Il a plusieurs piercing, l'incontournable au nombril, le non moins évident à la langue, mais aussi un à son téton gauche, et ce taré pense très sérieusement à un endroit on ne peut plus intime pour un quatrième. Enfin, c'pas encore fait. Peau pâle mais marquée de nombreuses traces de coups, et de cicatrices. Dos particulièrement touché. Mais la peau étant très pâle, les cicatrices les plus vieilles ne sautent pas aux yeux. • Pop-corn ou chips? Pop-corn • Quel est ou sont ton/tes péché(s) capital/capitaux? : Paresse et Luxure • Quel est ton vice préféré? Devine <3 • Si tu faisais un piercing, où le ferais-tu? Han, où tu veux darling <3 • Quel style de musique aimes-tu? Métal • Ton jeu préféré? Fuck ! Connaissez pas ? Apportez moi de l'alcool, j'vous montre. • La chose dont tu es le plus fier? La gueule du juge qui m'a condamné quand j'lui ai proposé de me baiser une dernière fois avant de m'envoyer dans ce trou. • Riz au lait ou cookies? Cookies • Si tu avais un pouvoir, lequel serait-ce? Pouvoir survivre à n'importe quelle blessure, ce serait le pied *se demande comment c'est, de se faire éventrer* • Tu as déjà vu un monsieur tout nu? Ouais 8D • Es-tu vierge? Que Dalle • Pégase, poney ou licorne? Licorne • Collectionnes-tu les bocaux de cornichons? Non • Quel est ton super-héros préféré? Robin • Quel est ton GTA préféré? Aucun • Tu aimes manger les bébés? Nan, j'préfère être mangé • Si tu te faisais violer, tu ferais quoi? *censuré*
| Mental
On le pense fou, mais il n'en est rien. Il est juste hors norme. Un beau jour, il a décidé que la vie, c'était chiant. Et depuis, il fait tout pour que justement, elle ne soit plus chiante. Alors, s'il va toujours au delà des ennuis, ce n'est pas par inconscience. Au contraire, il va tout faire pour toujours récolter le plus d'emmerdes possibles. S'il s'interpose dans une bagarre, pour le parti le plus défavorisé, ce n'est certainement pas du fait de son grand sens de la justice, non, puisque celui ci est plutôt du genre inexistant. Non, c'est juste pour récolter des emmerdes. Et s'il va insulter cette armoire à glace, juste là bas, ce n'est pas parce qu'il est idiot, non, c'est simplement pour le provoquer, le provoquer jusqu'à ce qu'on le tape. Qu'on le frappe. Qu'on le batte. Car Javier aime se faire battre, à tel point qu'il tend systématiquement le bâton. Souffrir, ça le met dans tous ses états. Souffrir, ça le fait vivre. Et si personne ne répond à ses provocations durant une ridicule petite journée, ou même pendant quelques heures, il est bien capable de chercher purement et simplement à se mutiler de lui même. Il en est devenu accro, à ses doses de douleur, toutes les heures au moins un tout petit peu. Et puis, dans une spirale infernale, il n'a pas que ça, parmi ses addictions. L'alcool. L'herbe. La poudre. Les piqures. Il est passé par tout, absolument tout. Et s'il a arrêté les drogues les plus violentes, c'est pour une unique raison. Elles l’empêchaient de ressentir la douleur avec autant d'intensité que sobre. Il est aussi accro aux jeux, il joue sans cesse, et parfois, c'est même sa vie qu'il met en jeu. Souvent son corps. Ah, comme il aime foutre son corps en enchère. Comme il aime qu'on lui foute dans l'arrière train. Il ne se gène pas pour le dire haut et fort d'ailleurs. Car il dira toujours ce qu'il pensera, sans jamais, non, jamais se soucier de qui l'entendra, et des mots, bien souvent des plus vulgaires, qu'il utilise. | Histoire
Dans l'histoire ci présente, nous allons joyeusement oublier de raconter les quinze premières et très emmerdantes années de vie de Javier... Sachez juste qu'il avait comme tout gosse un père et une mère (juste pour préciser que c'pas un alien quoi) et qu'il a vécu dans une petite maison sympathique à Lima dans un foyer heureux (nan, il est pas devenu maso à cause des mauvais traitements d'un père alcoolo)
Premier acte
"Hey détend toi, Javier... Je te jure, ça va pas faire mal... - Ben non, voyons, tu veux juste me planter dans le nombril un clou, pourquoi ça ferait mal ?"
Les deux adolescents s'embrassèrent, tandis que celui se prénommant Javier regardait d'un drôle d'air le clou en argent que tenait son ami, puis l'aiguille qui chauffait, et qui bientôt, allait transpercer sa chair.
"Ça ne te fera pas plus mal que quand je me suis enfoncé dans ton cul pour la première fois. Et tu adores ça. - Que tu me baises ? Certes. - Nan. Quand je te fais mal..."
Le couple s'observa, puis Javier s'allongea, prit une grande rasade d'alcool, et une grande bouffée de Sweet Mary. Au fond, on entendait un poste radio cracher du Death Metal. Puis son ami fut satisfait de la couleur de son aiguille, s'en saisit, et perça avec le nombril de son amant. Javier hurla, les yeux fermés. Puis il sentit un liquide froid. De l'eau salée. Il hurla à nouveau. Mais il ne bougeait pas, toute sa confiance allant en son ami. Et doucement, la douleur changea. De brulante, elle devint sourde. Il était au bout de la syncope. Mais il ouvrit les yeux, et regarda son amant. Un sourire aux lèvres. Il l'avait fait. Il aurait son piercing au nombril, n'en déplaise à ses parents.
Deuxième Acte
Il se promenait dans les rues de Lima, les poings dans les poches, en sifflotant. Rien ne pouvait indiquer dans son attitude sa situation. Pourtant, il venait de décevoir profondément son père, professeur dans la meilleure université péruvienne, en échouant aux examens de plusieurs universités. Ils avaient eu leur éternelle dispute. Lui, il ne voulait pas faire un job aussi emmerdant que professeur, ou quoi que ce soit s'il devait s'asseoir derrière un bureau et gratter du papier. Non. Il voulait devenir tatoueur perceur. Cette dernière dispute avait mené son père, sous le coup de la colère, à le virer de chez lui. Alors, à tout juste seize ans, il était sans domicile. Il entra dans une maison, sans se soucier de s'annoncer ou quoi que ce soit. Ici, c'était son deuxième chez lui. C'était chez celui qu'il aimait. "Ca s'est mal passé, c'est ça ? - Ouaip. - Ton père il craint. Alors, tu veux bosser avec moi ? - Grave !" Celui qu'il aimait était de dix ans son aîné, et sans nul doute, leur relation n'était pas très légale. Mais dans ce quartier, tout le monde s'en foutait.
Troisième Acte
"MAIS DE QUOI JE ME MELE !" Javier hurlait. Contre son père. Devant ses yeux, des policiers avaient frappé, menotté, puis embarqué son amant. "Je l'ai fait pour ton bien Javier. Pour ton bien. Ce... Cet homme... CE PEDOPHILE ! Tu devais arrêter de le fréquenter. C'est lui, qui t'a mis ces idées malsaines en tête ! Tu dois travailler ! Pour retenter tes examens. Pour avoir un vrai travail ! - Mais je veux pas de ces boulots de merde ! Ce que j'veux faire moi, c'est tatoueur-perceur ! Pas gratte-papier, gratte-cul, ou autres conneries de ce genre ! - IL SUFFIT JAVIER ! SURVEILLE TON LANGAGE ! Nous ne t'avons pas élevé comme ça !" Le jeune homme regarda son père, d'un air haineux, puis tourna les talons, et sortit. "Adieu."
Quatrième Acte
Il était sur le goudron inégal de ce coin mal famé de Lima. Sur sa tête, une botte, une jambe, un buste, des bras croisés, un visage goguenard. Derrière, deux armoires à glace tenaient une femme qui tempêtait tout ce qu'elle pouvait, sans succès. "Tu t'es calmé, petit con ? - Nan... Essaie de frapper plus fort pour voir." Un éclair de rage passa sur le visage de la brute, puis il donna un grand coup dans le ventre de Javier. Il était trop lâche pour frapper la tête, et risquer de tuer cet imbécile. La larve au sol ne cria pas. Nan, elle gémissait. Et cela fit plus encore enrager le punk, qui distribua alors une volée de coups. Puis il prit Javier par le col, le releva, et matraqua son visage de coups de poings. "Mais ! Qu'est ! Ce ! Qui ! Ne ! Va ! Pas ! Chez ! Toi !" Pour seule réponse, il eut le rire de Javier. Alors, il le jeta contre le mur. "Justicier de mes deux !" Il oublia Javier un instant, pour se retourner vers la femme, la dévisagea un temps, et se retourna à nouveau vers Javier. "Sale petit con, tu m'as ôté toute envie ! J'vais te baiser ! " Pour seule réponse, il eut un sourire mi figue mi raisin. Alors, il se saisit de la tignasse de Javier, et l'embarqua au fond de la ruelle. Quand il ressortit un quart d'heure plus tard, il était autant en rogne, si ce n'est plus. Et Javier n'était plus qu'une loque, mais une loque qui avait vécu son propre paradis tout ce temps durant. Il aurait mal pendant des jours, et cette idée seul le faisait encore bander.
Cinquième Acte
Il sortait d'un bar. Le pas titubant, la lèvre en sang, un bleu sur l'épaule. Il s'était amusé dans les toilettes avec un autre, et il était complètement saoul. Alors, il entendit quelqu'un le siffler. L'appeler. Tapette. Cela ne pouvait pas être pour grand monde, après tout. Ils étaient saouls. Mais ils étaient des riches quartiers. Javier aurait du le savoir. La justice ici était à double vitesse. On s'empressait de mettre sous verrous les rebuts comme lui, mais les étudiants, on les dorlotait. Pourtant, il voyait là simplement une nouvelle occasion. Alors, il les provoqua. Il les frappa. Il se fit tabasser. Mais il se relevait toujours. Puis il prit leur petit chef par les épaules, et lui donna un majestueux, un grand, un splendide coup de boule. Il frappa si fort qu'il tomba dans les vapes, avec l'autre.
Quand il se réveilla, il était dans une cellule de dégrisement. Il gromela un peu. Sa tête lui faisait un mal de chien. Son cul aussi. Il était vêtu que de son calbut, et ses jambes étaient poisseuses. "Z'auraient au moins pu avoir la décence que je me réveille pour me défoncer l'cul ces cons." Là, il avait que de vagues sensations, rien de bien alléchant. Mais il allait pouvoir réparer ça, un flic arrivait. Il lui adressa un grand sourire, se faisant aguichant soudainement, espérant, sans se cacher la vérité, être un véritable appel au viol. "J'suis à votre gout, Monsieur le Policier ?" Le policier lui adressa un regard noir, puis se tourna vers un autre homme. Oh... Celui là, il l'avait déjà vu. "Tentative de corruption sur un policier, prostitution... Je rajouterais cela à votre dossier. Vous serez juger demain pour coups et blessures dans l'attention de donner la mort à quatre étudiants, en état d'ivresse, et corruption de fonctionnaire." Vous savez quoi ? Faites jamais apprécié à un homo refoulé une partie de jambes en l'air plus que de raison... Ils trouveront toujours moyen de se venger, et de vous effacer de leur vie.
Sixième Acte
"Accusez levez vous. Pour les faits que l'on vous reproche, plaidez vous coupable, ou non coupable ? - Coupable Darling. - Pour avoir voulu tuer ces quatre jeunes gens ? - Coupable. - Pour corruption de fonctionnaires dans l'exercice de leur fonction ? - Coupable. Au passage, darling, viens me rendre visite après cette mascarade, je sais que tu adores me baiser." Dans la salle, les spectateurs se firent indignés, criant au scandale. Le juge avait viré cramoisi, et il peinait à rétablir l'ordre. Il finit par s'égosiller, pour annoncer la peine. "Monsieur Katari Javier, vous êtes condamné à la prison à perpétuité !" Il haussa les épaules. Va pour la prison. Avec un peu de chance, la bouffe serait meilleure que chez lui. Y avait même de fortes chances, avec ses talents de cuisinier. Seules les pizzas lui manqueraient.
Septième Acte
Javier était assis, seul, à une table. La plupart des autres prisonniers le jugeaient bien trop malsain pour l'approcher, sauf quand certains avaient envie de vider leurs sacs. Javier s'en foutait. La vie ici lui plaisait bien, il ne lui manquait que quelques petites choses pour que tout soit parfait. Des pizzas, déjà. Et son matériel de tatoueur-perceur. Il n'avait rien trouvé au marché noir pour faire des aiguilles assez fines pour tatouer, ou assez solides pour percer. La déception. Il regardait, autour de lui, l'air ennuyé. Ne se doutant pas encore qu'aujourd'hui se passerait la chose la plus intéressante qui soit dans cette prison. Un rébellion. Enfin, rébellion, il fallait le dire vite. Disons, une bagarre générale, avec les gardiens. Cool. Il adorait se bagarrer. Plus précisément, il adorait se faire fracasser la gueule. Il rejoignit donc la rixe générale, déjà parmi les détenus, il lui semblait naturel que ce soit eux qui soient en difficulté. Mais en fait, non, pas tellement. Alors, il se fit l'avocat du diable, et commença à se battre aux côtés des gardes, jusqu'à ce qu'un détenu lui roule dessus, lui démonte la tronche. Ah, ça lui avait manqué...
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Maku
» Comment es-tu arrivé ; Partenariat u_u » Pays ; France ! » Code ; Purr. » Âge ; 22 ans » T'aimes bien le yaoi? ; Mouhahahaha
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Dernière édition par Katari Javier le Jeu 12 Juin - 23:56, édité 9 fois |
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