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 Dayanara Luzia Lyonnes

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Dayanara Lyonnes


Dayanara Lyonnes
► Theme song : Porque te vas - Jeannette
• Date d'inscription : 04/06/2016
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• Piercings et tatouages : Quatre piercings sur chaque oreilles



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MessageSujet: Dayanara Luzia Lyonnes    Dayanara Luzia Lyonnes  EmptyDim 5 Juin - 2:52



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Dayanara Lyonnes



• Sexe ; Femme
• Âge ; 20 ans
• Origine ; Venezuela
• Motif d'incarcération ; Homicide Volontaire
• Sexualité ; Bisexuelle
• Groupe ; Asservis
• Emplacement du Bracelet ; Cou


• Ta musique préférée ; Porque te vas - Jeanette
• Ton fétiche ; ...
• Dr Pepper ou Coca ; Coca
• Grand ou petit ; Petite
• Ton habit préféré ; Vêtements grande taille
• Ta série préférée ; Happy Tree Friends
• Tu aimes les concombres ? ; ...Yup.


Physique ;


Sa main s’abattit sur ces morceaux de vanités agrippés à ses phalanges, les éclats, fragiles, s'écrasant sur le sol en une poussière informe. Elle exécrait ce reflet, parfois candide, parfois androgyne, qui s'affichait en permanence. Son corps chétif et maigre, d'un bon mètre cinquante trois, qu'elle s'appliquait à cacher obsessionnellement sous des vêtements trop amples desquels l'enveloppe osseuse et mutilée s'effaçait en de multiples plis. Sa peau basanée transparaissait une lividité mortuaire, et des lèvres, rondes et pêche, semblable à une poupée, violacée par les nombreuses disettes qu'elle s’infligeait.
Une étrange féminité émanait de la crinière négligée de Lyonnes, d'une longueur raisonnable qui s'éparpillait sur son visage candide, se répandait jusqu'à sa poitrine en de boucles déstructurées. Les mèches retombant sur ses yeux peinaient à cacher les cernes qui berçaient l’obsidienne de ses yeux. Large à la pupille rétrécie, lesquels finissaient en amande sous une flopée de cils drus et longs. Ses joues étaient creusée par l'apparence squelettiques avec laquelle elle déambulait dans la prison, s'imposant comme la parfaite victime, les mains aux phalanges longues et fines, osseux comme le restes, les ongles noirs et sales, rongées par l'incapacité de Lyonnes de conserver quoique se soit présentable.
La jeune femme arbore de nombreuses cicatrices acquises au court de son voyage vert la destruction. Quatre anneaux sur chacune de ses oreilles amassés au fil des années par contestation. De fins traits bombés, comme un amas de chair sur ses doigts et ses poignets, témoignent d'une souffrance passées. En remontant le long de ses bras et de ses cuisses, apparaissent les éraflures rougeâtres, semblable à des griffures, impulsives, frénétiques, qu'elle s’infligeaient. Enfin, des veines bleutées, comme un long fleuve tranquille au creux de sa peau dorées, s’efface de vieilles piqûres.

Cet air indolent et indifférent, elle avait du mal à le cacher, la démarche lourde, les épaules tombante, perdait de sa grâce. Il émanait d'elle une passivité qui n'échappait pas aux yeux des gens.




Caractère ;


Passive, apathique, constamment l'indifférence éteint ses yeux. La colère, les tentacules s'insinue dans ses pores, écrasent sa tête, vrillent ses tympans. Une rage folle consume, mutile et détruit petit à petit, tel un fléau, détruit tout sur son passage. Cette colère, ils l'ont créés, l'autodestruction, en permanence. La scarification, à coup de d'alcool et de drogue, viennent détruire les parcelles d'un être humain qui se terre, dans l'ombre.

Oscillant entre une démence poétique et belliqueuse, Lyonnes est l'archétype de la jeune rebelle, qui explore les limites, frôlent les frontières et se plonge petit à petit dans l'océan obsidienne qui déchirent son âme. Se moquant de tout, de sa propre existence, elle se donne à toute volonté, ayant perdu la sienne. Ses paroles acerbes, tranchantes, sans aucune retenue ni manière, le danger en permanence, qu'elle aime à s'y fourrer, avec délectation.

Chétive, fragile, son corps flanchent des nombreuses disettes et autres tortures qu'elle lui inflige, constamment l'esprit en vadrouille, ailleurs, lui donne cet aspect enfantin, et à la fois loufoque, de la parfaite victime de prison. La folie, s'accompagnant d'un mal-être récurrent.


Histoire ;


La brillante jeunesse dépravée de Caracas s'était réunis en ce point précis, la mauvaise herbe s'infiltrant au milieu de l'eau croupis, et pour représentant les deux gamines à peine entrée dans leur majorité. Les mains fragiles tremblaient en manipulant une cigarette roulée maladroitement, la première blonde à l'apparence indolente s'empoisonnait à petit feu à coup de tabac qu'elle s'injectait dans les poumons, quand la deuxième, le désespoir au bord des lèvres quémandait en agitant un gobelet vide au sous le nez des passants. « S'il vous plaît, madame, monsieur. Une petite pièce. » La blonde sourit, affichant un sourire tordu. « Allez, faites pas chier quoi, s'il vous-plaît ! » La seconde commençait à s'agacer. Les pas agressifs et lourds claquaient sur le sol en s'approchant du tas de vêtements sales et déchirés qui servait de havre aux deux adolescentes, elle arracha la cigarette de la bouche de sa camarade. « Putain, aide-moi un peu Lyonnes ! »
Ce sourire qu'elle affichait en permanence, qui voulait dire " Tu ne me connais pas vraiment ", elle regarda avec insistance sa copine, presque indifférente. « Dios mio, chica. J'ai pensé à tout, qu'est-ce que tu crois ?. » A côté d'elle trônait un sac à dos, aux motifs kaki, deux, trois patchs mal cousu dessus, quelques badges pour rappeler au monde ses penchant musicaux, archétype de la punkette des écoles, elle en sortie un paquet de bonbons. Les yeux de la brunettes s'illuminèrent, se jetant dessus comme happée par la faim qui les consumait depuis voilà quelques jours. Un mouvement brusque, sa main recula. « Du calme ! Asercate primero. - Lyonnes... - Hin, hin, pas de baiser, pas de bonbons ! » Et déposant ses lèvres sur celle de sa camarade, les deux jeunettes échangèrent un doux baiser, amusée.

C'était elle, une petit voleuse, délinquante qui vivait dans les rues. Elle s'en moquait bien, n'importe quel sol, qu'il soit chaud comme un matelas ou dur comme le sol était capable d'accueillir son sommeil, surtout quand un mauvais mélange d'alcool et de drogue venait l'accompagner.
Depuis qu'elle était partie de chez elle, sans aucune raison précise, cette vie de nomade lui faisait office de routine. Quémander, voler, passant des soirées et des nuits dans des endroits obscurs, bien qu'elle ne se fut jamais soucier du lendemain, cette vérité n'avait jamais été aussi réelle qu'en ces temps-là.

« Sale petite junkie de merde ! » Se saisissant de son col, le jeune homme au corps élancé, les muscles saillant, il n'eut aucun mal à soulever la jeunette, se maintenait en équilibre sur la pointe de vieilles chaussures usées par le temps. « Coño, te voy a dar el dinero. Esperate ! » Conservant son calme, elle avait dans son ton une insolence caractéristique de l'indifférence et du manque de conscience usuel de Lyonnes. Depuis son escapade, son voyage s'était accompagné de douceurs en la présence de drogues dures l'ayant conduit dans les recoins les plus mal famés des centres villes. La bouche tordue, son regard était sévère, néanmoins il reposa la petite. « Tu as jusqu'à demain soir Daya', sinon.. » Et la dévisageant d'un haussement de sourcil, il n'eut nul besoin d'en rajouter. Titubant sur place, légèrement alcoolisé, si ce n'est plus, elle repassait ses ongles frénétiquement sur les croutes de son bras, geste qu'elle faisait machinalement depuis son addiction, elle se mouvait lentement, dans un état second vers sa couche du soir.

Sur un tas de vêtements, humides et troués, la jeune brune tremblante, tentant vainement de se réchauffée refermée sur elle-même l'attendait. Une main frôla son épaule, la réveillant instantanément, en sursaut, le souffle saccadé. « Vamonos Maria ! - Qu'est-ce que tu racontes Lyly'.. ? » La voix encore embuée par la fatigue, elle prononçait ses mots avec difficulté. « Aller, viens ! On va aller au Pérou ! J'ai toujours voulu voir les temples incas, ou une connerie comme ça. Et puis il paraît que y'a un nouveau marché qui se crée là-bas, la meilleure cam' au monde ! » Dit-elle, enjouée.

Une bonne année s'était écoulée depuis leur arrivée au Pérou, Lyonnes arborait toujours cette allure chancelante et chétive qui la caractérisait. Elle se dirigeait alors dans une petite épicerie aux lumières défectueuses, étouffée par deux énormes bâtiments qui encadraient le petit coin mal éclairée. Le rayon lui apparaissait comme une opportunité divine, la faisant saliver. Les biscuits et autre chocolats s’amoncelaient dans les rayons, qu'elle se saisissait, la main tremblante pour glisser sous ses vêtements trop amples.
Une main vint bientôt se saisir de son épaule, la faisant à peine sursauter. « Lyonnes, j'y crois pas ! » Les idées embrumées, elle arrivait à peine à aligner deux mots, prononçait un discours incompréhensible. « C'est moi, Maria, tu te rappelles ?
- Hein quoi ? Ah ouais... Ça fait longtemps. Comment ça va ma belle ?
- Ça va, on laisse aller, j'ai trouvé un travail dans le coin, et toi, comment vas-tu ? »
Elle souriait mais l'inquiétude transparaissait dans sa voix. Même si leur chemin avait prit une tournure différente depuis déjà quelques temps, une amitié sincère les liait. Elle était mal en point, même si elle n'avait jamais été vraiment mieux depuis des années. « Est-ce que tu t'en sors de ton côté ? Tu veux de l'aide ? Parce que tu sais, maintenant j'ai un appart'.
- Gracia chica. J'm'en sors très bien de mon côté.
Sèche, un rictus déformant la commissure de ses lèvres. Lyonnes n'aimait pas être prise en pitié. Son ancienne amie le savait, elle avait appris à la connaître au fil du temps, et avait du mal à effacer la peine et la compassion au fond de ses yeux. « Aller, attends moi derrière la boutique. Tu vas venir chez moi. Et c'est bon, tu peux garder c'que t'as pris. » Cette dernière phrase décrocha un sourire amusé, plus sincère, à la cendrée.

Assise au dessus d'une benne à ordure, elle balançait ses jambes comme une enfant. Les nuits étaient devenues plus douce, plus supportables et l’atmosphère péruvienne était devenu son nouvel havre.
« Holà Niña. » susurrante dans la pénombre, ces mots firent sursauter la jeune blonde, qui s'élança sur le sol presque instantanément. « Tu m'as oublié ? » Le regard du jeune dealer se dévoilait. Il avançait, au fur et à mesure qu'elle reculait elle aussi. Elle tenta de s'en fuir, mais le grillage derrière elle la stoppa nette dans sa course. Il dégaina un couteau, se saisi de son visage et commença à faire couler la lame du couteau sur sa joue. « On paie toujours ses dettes, foutue junkie. »

Le grincement d'une porte stoppa le jeune homme dans son manège. La lumière émanait de la porte entrouverte du magasin, la jeune brune alerte. « Lyonnes ? T'es là ? » Ses yeux ébènes étaient révulsé de rage, écarquillé, Lyonnes fixait son tortionnaire, sans mots dire. Trop tard, il s'avançait lentement mais sûrement de la jeunette, l'allure d'un prédateur, traquant sa proie. « Holà guapa. » Susurra-t-il en observant la nouvelle de haut. Le désespoir se fit entendre pour la première fois dans la voix de la cendrée : « Dejala, ella no hizo nada. » Suppliante, ses sourcils froncés, craignant le pire.
Il enfonça un couteau dans le ventre de la brunette, décrochant un hurlement de douleur à la jeune femme. Les yeux écarquillée, la gamine aux cheveux noirs comprenant à peine ce qu'il se passait, et rapidement un second couteau vint s'enfoncer dans son ventre. Lyonnes accourue vers elle, soulevant avec difficulté son corps, elle le serra contre son cœur. Elle la suppliait de rester, ses mains se recouvrant de sang, ses genoux s'écorchant sur le sol teinté de pourpre. Le jeune homme s'en alla sous le spectacle désolant que dévoilait la gamine, bientôt couvert par le bruit des sirènes, effaçant ses pleurs. Elle répétait machinalement, paniquée « J'm'en tape... J'm'en tape... » alors qu'un policier se saisissait de son bras pour la soulever.


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SHIMYLLI ;


• Comment es-tu là ; En me perdant dans l'internet mondial
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• Sexe ; Femme
• Cookies ou brownies ; Brownies
• Yaoi ou Yuri ; Aucun
• Avatar utilisé ; Dayanara Lyonnes - OC by me

© Flyremoon.

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Guarnicionero J. Piero

Détenu

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Guarnicionero J. Piero
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• Piercings et tatouages : Une larme sur la joue gauche, une étoile sur la joue droite de tatouées. Côté piercing, il n'y a bien que mes oreilles.



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MessageSujet: Re: Dayanara Luzia Lyonnes    Dayanara Luzia Lyonnes  EmptyLun 6 Juin - 16:03


Bienvenue, bienvenue ♥

Je vois que ta fiche est complète - enfin, que toutes les parties sont remplies de texte -, mais il n'est pas indiqué dans ton titre si elle est en cours ou terminée. Je viens donc me renseigner à ce sujet ♥

Au plaisir de se croiser en CB ou in rp ~
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Dayanara Lyonnes


Dayanara Lyonnes
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MessageSujet: Re: Dayanara Luzia Lyonnes    Dayanara Luzia Lyonnes  EmptyMar 7 Juin - 3:01

    Oui, c'est fini ! C'est juste la mise en page qui ne me convient pas encore, mais j'espère que ça ne nuit en rien à ma validation.
    Et plaisir partagé ^^
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Holguin J. Faust

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• Piercings et tatouages : Deux boules argentées dans le bas du dos, un tatouage dans le haut de celui-ci et un piercing à la langue.



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MessageSujet: Re: Dayanara Luzia Lyonnes    Dayanara Luzia Lyonnes  EmptyMar 7 Juin - 14:09

Bienvenue à toi, jeune demoiselle ! ♥

Je viens à peine de lire ta fiche et je tiens à te dire que ton écriture est remarquable ! Je m'en délecte, j'aime particulièrement ton style qui est... Léger, recherché, avec un vocabulaire riche et varié. *_*

J'admire franchement ton travail sur cette fiche, c'est un honneur d'avoir une aussi jolie plume parmi nous ♥

Je me sens mal pour Lyonnes, j'irais lui apporter des chocolats :C

Sinon, j'ai vraiment hâte de pouvoir ouvrir un RP à tes côtés ! Mêmesijedoisterminerceuxquej'aiencours.

J'ai la joie et le plaisir de te valider, de t'ouvrir les portes du RP et de pouvoir recenser ton avatar, faire une demande de cellule, tout ça ~

Gros bisous à toi et au plaisir de te croiser en CB !
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