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 Bonjour papa!♥ (PV Varlaam, Violent, contenu 18+)

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MessageSujet: Bonjour papa!♥ (PV Varlaam, Violent, contenu 18+)   Bonjour papa!♥   (PV Varlaam, Violent, contenu 18+) EmptyMar 21 Juil - 5:33

Jour 1~
Une table parmi tant d’autres avec un groupe d’homme dont un gros pervers. Son ventre poilus et ses dents pourries n’aidaient pas sa laideur. Il faisait son macho devant ses amis ce qui allait le mettre K.O.

-Hé toi bombasse. Ça t’dirais de manger sur mes cuisses! hahaha!  

À peine arriver dans la prison qu’on me jette des regards. Pff qu’ils s’essayent pour voir! Je vais leur arracher les yeux à coup de griffes à ces voyeurs. Non calme toi Ma-Ma, inutile de t’en prendre à eux toute de suite.

Le gros pervers siffla pour attirer son attention.

-HÉÉÉÉ JTE PARLE CONNASSE! VIENS FAIRE UN CÂLIN ♥

Et là, je me fais siffler! Quoique ce soit gentil de sa part de remarqué ma beauté j’suis pas une putain! Non mais tu m’cherche!

-Désolé papa, mais on dirait qu’on a se voir plus tôt que prévu! Haha! (Murmura-t-elle.)

Elle fit volte-face avec son plus beau sourire. Elle s’approcha du pervers en utilisant ses attributs. Il restait subjugué par la beauté de sa proie alors qu’elle l’obligea à s’asseoir.

-Alors, tu voulais me voir? (lui susura-t-elle en se déhanchant.)

Elle s’approcha du pantalon de l’homme.

-J’ai faim….

Elle le retira d’un coup sec et arracha de la peau du pénis de l’homme.

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA


-HAHAHAHA, ÇA T’APPRENDRA À M’TRAITER COMME UNE PUTAIN, JE M’ÉRITE LE RESPECT COMME UNE REINE!

- AAAAAAH. AIDEZ-MOI ELLE EST FOLLE.

Elle se retira de la table en jetant des regards de rage aux autres.

-C’est valable pour vous tous, sinon vous connaissez le châtiment je crois ♥ (dit-elle suivi d’un clin d’œil)

Elle continua sa route vers l’infirmerie.

Ça mérite bien de jeter un coup d’œil à l’infirmerie. J’voudrais pas attrapé de saleté à cause de ce débile. Pff, ce connard m'a presque ruiné mon moral. Mais je vais enfin voir mon papa ouiiii! J'ai tellement hâte! Je me demande à quoi il ressemble? Son caractère? Est-ce que je lui ressemble?
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Vsevolod Varlaam

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MessageSujet: Re: Bonjour papa!♥ (PV Varlaam, Violent, contenu 18+)   Bonjour papa!♥   (PV Varlaam, Violent, contenu 18+) EmptyMer 5 Aoû - 18:21


Les blessés, dans une prison, ne sont pas rares. Quand il n'y en a pas durant la journée, c'en est même étrange, voire douteux. Dans ce temps là, on imagine que le blessé du jour a un peu trop de fierté ou, peut-être, que la plaie est bien trop honteuse et qu'il n'a pas envie de nous l'exposer. C'est qu'ils avaient un orgueil ces détenus, c'est qu'ils voulaient se montrer malin et plein de fierté ces détenus et c'est qu'à chaque fois je devais écraser cette dite orgueil et leur apprendre qu'en ma présence ils devaient se taire et écouter. Ce n'était pas difficile, c'était même relativement aisé, surtout lorsque tu étais en charge de soigner leur blessure, mais c'en était à la longue lassant. C'était une routine de leur apprendre leur place, c'était mon quotidien de clouer leur bec et d'obtenir leur obéissance. Certains se montraient certes plus têtus, comme ce baraqué en cet instant précis, mais cela ne m'empêchait jamais de les dresser, de leur faire comprendre qu'il valait mieux pour leur santé à la fois physique et mentale de m'écouter bien gentiment. Je n'étais pas l'homme le plus patient, les preuves en avaient été faites, et je ne tolérais pas qu'on se rebelle. Surtout lorsque cela avait un quelconque attrait à mon travail. Ainsi, mes patients, ils se calmaient ou je les calmais moi-même, et pas de la manière la plus douce.

Pour en revenir à cedit baraqué, cet homme qui se faisait têtu comme une mule, il était fraîchement arrivé à la prison, il n'avait donc pas encore eu la chance d'entendre les rumeurs à mon sujet et ne savait donc pas en quoi s'en tenir. Il était grand, bien que quelques centimètres plus petit que ma personne, les épaules larges presqu'autant que les miennes et l'air peu commode. Son crâne était rasé et reluisait à la lumière, éblouissant les gens, tandis qu'un léger ventre de bière se balançait à chacun de ses pas. Il était tout en muscle et en gras, la cervelle lui faisant défaut. En entrant dans l'infirmerie, il s'était cru roi, fixant à la fois avec dédain et convoitise les infirmières qui, quant à elles, se repliaient sur elles-mêmes, intimidées. C'était compréhensible, il était effrayant et je crois avoir lu un article de journal à son propos. Il faisait la première page pour meurtre et viole en série. Enfin, quelque chose qui ressemblait à ça, mais, quoiqu'il en soit, ce n'était pas un enfant de chœur et, si je l'avais lu, je me doutais que d'autres l'avaient lu à leur tour ou peut-être tout bonnement aperçu aux nouvelles ou, encore, dans les médias. C'est que les journalistes aiment ce type d'histoire bien horribles, qui faisaient du sensationnalisme et augmentaient en flèche les cotes d'écoute. Elles atteignaient toujours des sommets à ces moments là.  Les citoyens adoraient avoir des sensations fortes, pouvoir se dire dégoûtés et en discuter avec d'autre, se rebeller contre cet homme et dire que « oh combien c'était mieux dans leur temps » et où allait donc l'humanité.

Seulement, je n'étais aucunement impressionné par ce personnage. Au contraire, je le trouvais plutôt pathétique, voire lamentable. Cette impression se fit par ailleurs de plus en plus forte quand il ouvra sa trappe, s'adressant aux infirmières comme si elles étaient à ses ordres, comme si elles étaient à ses pieds, ignorant la gente masculine, ce qui, entre autres, m'incluait forcément. Il disait avoir mal à la tête, une atroce migraine, et, qu'en conséquence, il désirait avoir des médicaments. Plusieurs pots, au cas où la douleur persistait. À son sourire niais, on devinait que c'était tout bonnement un mensonge. S'étant approché d'une infirmière, il la plaquait presque contre le mur et je la vis me lancer ce regard incertain, quelque peu apeuré. Oh, les détenus, ils devraient un jour apprendre qu'ils valaient mieux rester bien sage en prison, car, parfois, celui qui servait de gardien ou d'infirmier aurait peut-être eu davantage sa place derrière les barreaux en sa compagnie que dans le personnel. Sauf que ce n'était pas le cas et nous avions tous les droits, si on peut dire. À l'extérieur, les citoyens n'en avaient rien à faire de ces déchets qu'étaient les criminels envoyés à Luriguancho, et ils en auraient encore moins à cirer de ce qui arrivait à celui-là. De même, socialement, je me disais que plusieurs souhaiteraient le voir pendu, sur la chaise électrique. Il avait commis de ces actes qui froissaient les bons citoyens, les mettaient hors d'eux-mêmes.

Je me levai donc de ma chaise, délaissant un dossier, avant de m'approcher et d'agripper l'arrière de la tête du détenu. Sans attendre, sans lui laisser le temps de réfléchir, je la fracassai contre le mur, au-dessus de l'infirmière qui se crispait et se fit plus petite, fermant les yeux tout en serrant son cahier dans ses bras. Je crois que j'entendis alors la porte s'ouvrir, coulisser doucement, mais je n'y prêtais pas immédiatement attention. Non, j'appuyais plus fort sur son crâne, m'assurant d'écraser son visage contre la brique, satisfait d'entendre ce craquement d'os. Il avait sûrement le nez brisé et le sang qui commençait à s'écouler pour tomber en goutte me conforta dans cette idée. Je fis signe à ma collègue de se faufiler et de rejoindre ses coéquipières, ce qu'elle fit sans se faire prier et elles se remirent au travail, ne prêtant plus réellement attention à la scène si fréquente. Je pris donc la parole, glissant mon visage près de son oreille où je tonnai d'une voix sèche et froide : "Premièrement, avant d'entrer dans l'infirmerie la prochaine fois, viens pour une vraie raison ou, comme en ce moment, je t'en donnerais une. Deuxièmement, ne t'approche pas des infirmières où tu seras désormais incapable de la lever, c'est une promesse. Troisièmement, sois poli et n'ignore pas les autres membres du corps personnel, compris?" Je n'attendis pas la réponse que je le relâchais, le laissant s'effondrer au sol, lui qui devait alors avoir le tournis et une affreuse migraine. Je me retournai vers les infirmiers tout en désignant le détenu. "Donnez lui une Tylenol et installez-le dans le lit. Je m'occuperais de son nez un peu plus tard."

Puis, je portai enfin attention à cette porte qui s'était ouverte et au nouveau venu qui, au final, était une femme. Une jeune fille, pas très âgée. L'expression de mon visage n'avait pas changé, il était resté calme et neutre depuis le tout départ, tandis que je demandai : "Que peut-on faire pour toi, mademoiselle?"

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